Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

UMP 24 CANTON DE SIGOULES

UMP 24 CANTON DE SIGOULES
Publicité
Archives
12 janvier 2007

L'avis du président de l'UMP 24 et député-maire de Bergerac

daniel_garrigue_2e_dordogne_jpg"Pourquoi je vote pour Nicolas Sarkozy Comme beaucoup d’élus et de militants UMP, je suis fatigué des polémiques inutiles. J’ai soutenu et je continuerai à soutenir l’action conduite par Dominique de Villepin à la tête du Gouvernement, car elle s’inscrit pleinement dans l’esprit de la Vème République : prendre les problèmes à bras le corps et les traiter à fond, dans une démarche cohérente avec pour seules priorités l’intérêt de la nation et l’intérêt des Français. Les résultats sont là, qu’il s’agisse de la reprise de l’activité, du recul du chômage, de la maîtrise des finances publiques et du désendettement. Il y a de la grandeur dans l’action du Gouvernement. Mais je vote aussi pour que Nicolas Sarkozy soit notre candidat. D’abord, parce que nous ne gagnerons que dans l’Union. L’UMP a été créée pour assurer cette union, celle de la droite et du centre, il serait suicidaire de rompre ce pacte. Ensuite, Nicolas Sarkozy est aujourd’hui le candidat de la droite et du centre qui est le mieux placé pour l’emporter. Nous sommes certes encore à quatre mois de l’élection présidentielle, mais aux yeux des Français, le débat s’est d’ores et déjà cristallisé autour de deux candidats principaux, Nicolas Sarkozy et Mme Royal, notamment parce qu’ils sont de nouveaux candidats. Enfin, Nicolas Sarkozy a fait un bon début de campagne, parce qu’il parle de façon claire des problèmes qui préoccupent les Français et parce qu’il s’est efforcé de mieux concilier le thème de la rupture avec la continuité du bilan. Je souhaite pour ma part qu’il ait la volonté de bâtir sa stratégie de campagne en associant tous les acteurs de la majorité, que les petites phrases s’arrêtent – y compris de la part du quarteron d’anciens ministres qui vit mal de ne plus être aux affaires –, et que notre candidat se libère le plus tôt possible de ses fonctions ministérielles pour s’investir totalement dans la campagne. " Posté par : Daniel Garrigue à 23:42

Publicité
Publicité
3 janvier 2007

BONNE ET HEUREUSE ANNEE 2007

BONNE ET HEUREUSE ANNEE 2007

3 janvier 2007

CHOISISSEZ VOTRE CANDIDAT A L ELECTION

CHOISISSEZ VOTRE CANDIDAT A L ELECTION PRESIDENTIELLE

Le vote des adhérents de l'UMP pour exprimer leur soutien à leur candidat à l'élection présidentielle, Nicolas Sarkozy, a débuté ce mardi matin et s'achèvera le 14 janvier.
Les quelque 327.000 adhérents de l'UMP voteront par internet. Le résultat du scrutin sera publié lors du congrès du parti, le 14 janvier Porte de Versailles à Paris.

VOTE POUR LE SOUTIEN AU CANDIDAT DE L'UMP A L'ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE DE 2007
Scrutin du mardi 2 janvier 2007 à 8 heures au dimanche 14 janvier 2007 à 10 heures : Cliquez ici pour voter

Si vous êtes adhérent et que vous n'avez pas vos codes pour voter merci d'appeler : 

> France Métropolitaine : 0892 889 889 (0,34 euros/min)
> Outre Mer et Etranger : 01 70 95 51 35
du 2 au 13 janvier de 8H à 20h tous les jours

3 janvier 2007

LES VOEUX DE NICOLAS SARKOZY Cliquez ici pour

LES VOEUX DE

NICOLAS SARKOZY

Cliquez ici pour voir la vidéo

3 janvier 2007

Vœux aux Français: allocution de M. Jacques

Vœux aux Français: allocution de M. Jacques CHIRAC, Président de la République.

Palais de l'Élysée, Paris, le dimanche 31 décembre 2006

UneVAF2006122



Mes Chers Compatriotes de métropole, d'outre-mer, de l'étranger,

A la veille de l'année 2007, qui sera particulièrement importante pour l'avenir de notre pays, j'adresse, du fond du cœur, à chacune et à chacun d'entre vous mes vœux les plus chaleureux.

Et je pense d'abord à toutes celles et à tous ceux qui sont victimes de la solitude, de la maladie, de la détresse.

Je veux aussi saluer avec respect et reconnaissance nos soldats qui défendent, partout dans le monde, la paix et les valeurs de la France.

Ensemble, depuis que j'ai l'honneur de vous servir et de vous représenter, nous vivons des changements considérables.

Une économie mondiale en pleine expansion. Une concurrence de plus en plus vive mais qui nous ouvre aussi des opportunités nouvelles. La révolution de l'Internet, qui transforme notre façon de communiquer, de travailler, de vivre en société. Un monde où la surexploitation des ressources naturelles dérègle le climat et mettra en danger l'humanité, si nous ne réagissons pas dès maintenant. Un monde qui n'a jamais été aussi riche et aussi pauvre à la fois. Un monde marqué par le 11 Septembre, le terrorisme, la guerre en Irak, la crise au Proche-Orient, la tentation absurde et irresponsable du choc des civilisations et des cultures.

Parce que j'aime passionnément la France, je me bats pour qu'elle prenne toute sa place dans ce nouveau monde tout en restant fidèle à elle-même. Je me bats pour que chaque Français, pour que chaque jeune en particulier, ait sa chance, où qu'il vive et quelles que soient ses origines.

Bien sûr, je voudrais que les choses avancent plus vite, et qu'elles avancent mieux pour chacun d'entre vous. Mais grâce à votre talent, grâce à votre travail, la France s'affirme. Avec l'action résolue du Premier ministre et de son gouvernement, le chômage baisse fortement : déjà 360 000 chômeurs de moins. La croissance est là et elle est solide. Nos retraites, notre sécurité sociale se réforment et c'est la garantie de leur avenir. Le nombre de logements sociaux nouveaux chaque année a doublé depuis 2002. Nos regards et nos comportements évoluent heureusement vis-à-vis des personnes handicapées, des victimes du cancer, des victimes de la violence routière. Grâce à votre mobilisation, près de 9 000 vies ont été sauvées sur les routes de France.

D'ici aux élections, j'aurai une double exigence : que le Gouvernement soit au travail, à votre service, pour la sécurité, pour l'emploi, pour le pouvoir d'achat et que ces mois soient aussi des moments de débats ouverts, démocratiques et responsables et je m'y engagerai pleinement. Je voudrais vous dire ce soir quels en sont, à mes yeux, les enjeux majeurs.

Le premier, c'est l'unité et le rassemblement autour des valeurs qui font la France : la liberté, l'humanisme, le respect, et notamment le respect de la diversité et des différences, la laïcité, le combat contre le racisme, l'antisémitisme, le communautarisme. N'écoutez pas les apprentis sorciers de l'extrémisme. La France est forte, la France est belle quand elle sait, tout à la fois, faire respecter ses règles et tendre la main.

Le deuxième enjeu, c'est évidemment le progrès économique et social. Je sais les souffrances et les difficultés auxquelles certains d'entre vous sont confrontés. Je connais vos attentes pour ce qui concerne les salaires et le pouvoir d'achat, c'est-à-dire la juste récompense de votre travail. Mais gardez-vous cependant des idéologies, des illusions, du retour aux recettes qui ne marchent pas. C'est le travail, c'est la formation, c'est la recherche qui font la force des économies modernes. En donnant toute sa place au dialogue social, des réformes importantes sont devant nous : pour aller beaucoup plus loin dans la baisse du chômage, pour faire de la participation un véritable projet de société, pour donner plus de puissance à nos entreprises, pour mettre en place un véritable droit au logement opposable, c'est-à-dire faire du droit au logement une réalité. Et je demande au Gouvernement d'avancer sur ce point dans les toutes prochaines semaines.

Le troisième enjeu, c'est de bien mesurer que la France a des responsabilités particulières dans le monde. La vocation de la France et son honneur, c'est d'affirmer sa voix avec force et avec indépendance pour la paix et pour la justice. C'est aussi son intérêt. Ainsi, agir comme nous le faisons, pour le développement des pays les plus pauvres, c'est, bien sûr, répondre à une exigence morale essentielle. Mais c'est également prévenir l'afflux à nos frontières de tous ceux qui quittent leur pays parce qu'ils n'ont plus d'espoir.

Le quatrième enjeu, c'est l'Europe. Depuis un an et demi, nous avons choisi de faire progresser l'Europe des projets : la recherche, l'énergie, la sécurité, l'immigration. N'oublions jamais que l'Europe, c'est la garantie de la paix et de la démocratie sur notre continent. C'est donc notre avenir. Le 50e anniversaire du Traité de Rome, le 25 mars prochain, nous offre l'occasion de donner un nouveau souffle à la construction européenne : pour une Europe politique, pour une Europe de l'ambition économique et du progrès social, pour une Europe qui nous protège. La France y prendra naturellement toute sa part.

Enfin, il y a l'enjeu écologique. C'est un enjeu immédiat. Un enjeu politique. La France est le premier pays au monde à avoir inscrit en 2005 une Charte de l'environnement dans sa Constitution. En février, elle accueillera une conférence internationale pour accélérer la marche vers une Organisation Mondiale de l'Environnement. Mais c'est aussi chez nous que ce combat se gagne, par le changement en profondeur de nos comportements et de nos politiques. C'est une exigence et c'est une chance. Avec la nécessité d'inventer une économie respectueuse de l'environnement, c'est une nouvelle révolution industrielle qui est devant nous, celle du développement durable. Elle sera source de croissance et d'emplois et la France a tous les atouts pour en être le champion.

Mes Chers Compatriotes,

Oui, nous pouvons être fiers d'être Français ! Poursuivons notre effort de modernisation. Ne cherchons pas à imiter. Soyons nous-mêmes. Au printemps prochain, vous aurez à faire des choix décisifs. Faites vivre intensément vos convictions. Vous êtes le peuple souverain. La France a besoin de chacune et de chacun d'entre vous. Elle compte sur vous.

Vive la République ! Vive la France !

Publicité
Publicité
10 décembre 2006

reunion de canton

Daniel GARRIGUE a décidé de réunir les militants du canton à Sigoules dimanche 17 Décembre 2006 à 19H00 salle des justices. Nous vous attendons trés nombreux!

5 décembre 2006

CANDIDAT!

  20061013_155111Nicolas Sarkozy : «Ma réponse est oui»

Voici l'interview que donne le président de l'UMP à la presse régionale jeudi matin pour          annoncer sa candidature officielle à l'Elysée • Il dit «sentir la force, l'énergie et l'envie de proposer une autre vision de la France».

C'est à travers la presse quotidienne régionale et départementale que Nicolas Sarkozy a choisi d'annoncer jeudi matin sa candidature à l'élection présidentielle. Ses propos ont été recueillis par six représentants de ces journaux.

Etes-vous candidat à l'élection présidentielle ?

Ma réponse est oui.

Pourquoi ?

C'est une décision mûrement réfléchie. A titre personnel, elle n'était pas évidente. Cette décision m'engage ; c'est le choix d'une vie. C'est une lourde responsabilité vis-à-vis des Français auxquels je demande de me faire confiance. Je me sens la force, l'énergie et l'envie de proposer une autre vision de la France. J'ai l'ambition de créer une nouvelle relation avec les Français qui repose sur deux mots : confiance et respect, confiance en la parole donnée et respect de chaque Français pris individuellement.

Quel contenu donnez-vous à cette nouvelle relation ?

Faire de la France le pays où «tout peut devenir possible». Et cela pour tout le monde, mais d'abord pour ceux qui ont connu des épreuves, se sentent fragiles ou qui pensent que «rien n'est jamais pour eux». Quand tout sera redevenu possible, quand la promotion sociale, le droit à la propriété, une meilleure école pour ses enfants, un meilleur salaire pour soi, une réelle égalité entre hommes et femmes, seront des objectifs réalisables pour chacun, alors les Français retrouveront le goût de vivre ensemble. Et la nation française sera à nouveau un exemple pour le monde.

Pourquoi maintenant cette annonce de candidature ?

Je m'étais engagé auprès du président de la République à ce que 2006 soit consacré au travail gouvernemental et que la campagne ne démarre qu'en fin d'année. J'ai respecté mon engagement. Dans cette campagne je dirai tout avant afin de pouvoir tout faire après. Notre démocratie a besoin de franchise, d'honnêteté, de vérité.

Avez-vous fixé un terme à votre présence au gouvernement ?

Il est trop tôt pour répondre parce que ma famille politique n'a pas encore décidé de me soutenir. En tout état de cause, je ne serai plus ministre au moment de l'élection: en cela je serai le premier à m'imposer cette règle contraignante.

Vous êtes en pré-campagne depuis des années. Qu'est-ce qui va changer désormais ?

Depuis des années, j'ai la même volonté de renouveler le débat public. Je vais maintenant m'adresser à tous les Français, sans exception. Je pense entre autres aux catégories de la population auxquelles nous n'avons pas assez parlé : aux fonctionnaires, aux Français les plus récents, aux femmes, aux jeunes, à ceux qui n'ont plus d'espoir. Je vais leur parler de la France et de leur avenir. J'appelle la droite républicaine et le centre à s'ouvrir aux idées nouvelles afin que tous les Français puissent se reconnaître en nous.

Votre programme sera-t-il UMP ?

Lionel Jospin avait dit, en 2002, que son programme n'était pas socialiste. L'électorat socialiste l'a «compris». Il n'a pas voté pour lui. Qu'on ne compte pas sur moi pour tenir un discours qui ne soit pas fidèle aux valeurs de la droite et du centre. J'aime mon pays, je crois aux vertus du travail, du mérite, de la récompense et de l'effort. Mais je ne suis pas un conservateur car je crois au mouvement. L'ordre n'est acceptable que s'il est en mouvement. L'ordre juste, c'est juste de l'ordre. Je veux que l'avenir redevienne une promesse et cesse d'êre une menace. Les Français attendent des raisons d'espérer. Il n'y a de fatalité que pour ceux qui renoncent. Je n'en serai jamais.

Le mot rupture fait-il encore partie du vocabulaire de Nicolas Sarkozy ?

Oui car je veux rompre avec une façon de faire de la politique. Rompre, ce n'est pas la crise. A ceux qui voudraient m'appeler à la continuité, je pose la question : êtes-vous sûrs d'être en harmonie avec les Français ? Je veux rompre avec l'idée que l'on peut travailler moins et gagner plus, qu'en accueillant tout le monde, on peut intégrer convenablement, qu'on démocratise l'enseignement en abaissant le niveau des diplômes. A mon poste de ministre, j'ai profondément changé les choses. Je veux remettre la société française en mouvement.

Ségolène Royal n'incarne-t-elle pas mieux cette rupture ?

Le PS a choisi l'immobilisme. Je veux incarner le mouvement. Dans un monde qui bouge si vite qui peut penser que l'on peut demeurer immobile. Je veux une rupture tranquille. Cela fait quatre ans et demi que je gère la sécurité de la France. Cela demande beaucoup d'expérience et de maîtrise. Je veux les mettre au service de la France.

Quelle rupture incarnez-vous par rapport à Jacques Chirac ?

On peut être fidèle à son histoire, fier de son bilan et proposer pour les cinq années à venir un autre chemin. Je souhaite un président responsable et des contre-pouvoirs plus forts. Imaginer l'avenir et l'incarner c'est désormais ma mission.

On vous dit atlantiste, communautariste et libéral...

On dit tant de choses fausses et caricaturales ! Communautariste ? C'est un message. Je n'accepte pas qu'on importe des usages et des coutumes non conformes à nos valeurs républicaines. Atlantiste ? On est d'autant plus indépendant qu'on est amis. Libéral ? Cela serait réducteur. Je crois en la liberté. Mais je ne suis pas un idéologue. Et je pense que l'Etat et les services publics ne doivent pas être condamnés à l'impuissance. Ils ont tous leur rôle dans la société moderne que je veux bâtir.

Le PS est désormais en ordre de marche derrière sa candidate. A l'UMP, vous en êtes loin

Rarement la famille politique que je préside n'a été aussi rassemblée. Je n'y considère personne comme un adversaire.

Ce qui n'empêche pas des velléités.

Ce ne sont pas des velléités, ce sont des talents. Je les prends en compte car toutes les ambitions sont légitimes.

Jacques Chirac a eu 74 ans hier. Que lui souhaitez-vous ?

D'être heureux.

1 décembre 2006

LEGISLATIVES 2007

Daniel GARRIGUE investi par l'UMP, sera notre candidat aux législatives du mois de Juin 2007.

DSC03383

1 décembre 2006

naissance du blog des militants du canton de Sigoules

Un nouvel outil va désormais nous permettre de communiquer: voici le blog du canton de sigoules!!! N'hésitez pas à faire circuler l'adresse de ce blog: ump24sigoules.canalblog.com

Délégué cantonal: Fabien MARTY 0607828354

images

Publicité
Publicité
Publicité